Dordogne : douze ans de réclusion pour le violeur de Boulazac

Le verdict est tombé vendredi 26 septembre 2025 : la cour criminelle de la Dordogne, siégeant à Périgueux, a condamné Ahmadi Parwiz à douze ans de réclusion criminelle pour le viol d’une jeune Ukrainienne en août 2022 à Boulazac-Isle-Manoire.

Les faits

Selon les reconstitutions présentées au procès, l’accusé, un Afghan d’une trentaine d’années, avait fait connaissance de la victime dans un bar de Périgueux où elle passait la soirée accompagnée d’une amie. La conversation s’est poursuivie au domicile de la jeune femme. Après le départ de son amie, la victime a été agressée sexuellement.

Procédure et arrestation

En fuite après les faits, l’homme a été interpellé six mois plus tard à Strasbourg par la police aux frontières. Il a été jugé à huis clos devant la cour criminelle départementale de la Dordogne, les audiences se déroulant les 25 et 26 septembre 2025.

La peine

La cour a retenu la qualification de viol et prononcé une peine de douze ans de réclusion criminelle. Les éléments du dossier et les débats en audience, tenus à huis clos, ont conduit les magistrats à cette décision.

Ce que l’on sait

  • Victime : une Ukrainienne dans la vingtaine.
  • Lieu des faits : domicile à Boulazac-Isle-Manoire, après une rencontre dans un bar de Périgueux (août 2022).
  • Accusé : Ahmadi Parwiz, ressortissant afghan, une trentaine d’années.
  • Arrestation : six mois après les faits, à Strasbourg, par la police aux frontières.
  • Juridiction : cour criminelle de la Dordogne, audiences tenues à huis clos à Périgueux.

Le procès, bien que bref, a permis à la justice départementale de statuer sur des faits graves qui avaient provoqué l’indignation locale. Les procédures à huis clos visent à protéger la confidentialité des dépositions et l’identité de la victime.

Pour rappel, les victimes d’agressions et de violences sexuelles peuvent être accompagnées par des associations spécialisées et orientées par les services de santé et les services judiciaires. Les autorités locales et les services de police restent mobilisés pour la prévention et la prise en charge des victimes.

Article rédigé à partir des éléments rendus publics lors du procès à Périgueux.

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